Ecoutons nous la sagesse ?
- Eric Merle
- 14 janv. 2021
- 2 min de lecture
Comment ne pas s'en rendre compte, quand nous sommes "divisés" entre cet appel de libération, de vie, et nos conditionnements ?
Se pourrait-il que le mal-être et symptômes ne soient qu'une alarme de cette division, "combat" ?
Beaucoup de traditions essayent de nous le dire, montrer, mais avons-nous vraiment envie d'écouter nos anciens, nos sages ?

Un mensonge dans le temps ne dure pas, "la terre n'est plus plate", même si nous ne l'avons pas vérifié personnellement. Cela met du temps à disparaître certes, mais nous pouvons aussi relever la tête et nous rendre compte que certaines traditions, enseignements, leçons sont toujours vivantes, existent. Il y a forcément une raison à cela, non ? Pourquoi tiennent-elles dans le temps ?
Pourquoi ne pas l'entendre, pourquoi ne pas vouloir l'entendre ? Et si c'était simplement à expérimenter. Pas besoin d'y croire.
Et comme cela semble vrai pour un individu alors pourquoi ne serait-il pas vrai pour une société, une civilisation, une humanité ? Et si un virus nous indiquait que le corps mondial n'est pas en harmonie avec l'âme du monde et/ou vis et versa.
Notre égo personnel alimentant l'égo mondial (qui est "virtuel"), l'orgueil tout puissant s'en moque, il ne serait ni l'un ni l'autre (corps et âme). Se battre contre l'égo, la pensée mondiale (à différencier de l'idée) est peine perdue puisque nous ne sommes pas en train de retrouver le processus de vie en nous ? Remarquons que certaines maladies comme "auto-immune" envahissent tout le corps jusqu'à l'arrêt de la vie. La science nous explique aujourd'hui que le rôle des défauts dans la matière (donc dans tous corps) est une tentative de respecter l'intégrité de sa structure. Et pourtant de plus en plus de témoignages nous montrent que c'est possible d'inverser le processus du défaut. C'est à dire de retrouver son intégrité, la VIE elle-même en nous. Comment ? Se demander "si j'ai vraiment envie de m'offrir à la vie, à mon âme" Me foutre la paix et écouter mes aspirations et non désirs. Et là aussi, notre orgueil peut s'en saisir. Le JE(u) deviens spirituel.
Je pense donc je suis ? Alors comment penser si nous ne sommes plus ? Un nouveau piège à éviter.
Être-vivant, n'est-ce pas notre définition ?
Mes amis, posons-nous vraiment les bonnes questions, en notre âme et Conscience, changeons notre regard sur nos fonctionnements. Aujourd'hui toutes les réponses sont accessibles, traditions et sciences nous expliquent la même chose avec des mots différents. Nous sommes tous dans le même bateau, l'exemple de la maladie (une partie infime du corps) qui impactent le corps entier.
Prenons soin de notre propre corps (médecine) ET de notre âme (psyché) en Conscience (Esprit). Et nous impacterons différemment notre monde. Nous sommes tous utiles à ce corps et à cette âme mondiale, c'est à dire que nous sommes une partie de lui comme le rein, le foie, le cœur sont utiles à l'être.
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